It will take about 7 minutes
Musical creation by eight Belgian composers
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Musical creation by eight Belgian composers
Eight contemporary Belgian composers give us their own version of the other and elsewhere by putting a poem of their choice to music, conceiving eight melodies as eight short excursions towards sound horizons where cultures, genres and eras meet. A quintet, two singers and five actors in every-changing constellations perform and glorify the compositions. Writing in Le Soir, Michèle Friche said: “A well-disciplined but disordered and swarming Tower of Babel, the actors spread themselves out among the tiers of Studio 4 as rarely impassive listeners, allowing the sounds to bend and caress their bodies before they fade away and get thrown off centre… Delighted by what the eye can see, the ear is immersed in the bouquet of very different music. (Michèle Friche, Le Soir)
Credits
Composition: Baudouin de Jaer, Jean-Pierre Deleuze, Renaud de Putter, Jean-Luc Fafchamps, Michel Fourgon, Jacques Leduc, Jean-Marie Simonis, Annelies van Parys
Conception and direction: Ingrid von Wantoch Rekowski
Singers: Donatienne Michel-Dansac (soprano), Holger Falk (baritone)
Performers: Pascal Crochet, Isabelle Dumont, Cécile Leburton, Pietro Pizzuti, Candy Saulnier
Musical ensemble: Het Collectief
Production: Bozar Music (Brussels), Ars Musica (Brussels), Flagey (Brussels)
Supported by: Lucilia Caesar, Fédération Wallonie-Bruxelles (Direction du Théâtre)
Press
Ingrid von Wantoch Rekowski a réglé la soirée en experte de l’art de mettre en corps les sons, avec un grain de folie jubilatoire. Ce fut un régal.
Tour de Babel en pagaille ou essaim discipliné, tous se répartissent sur les gradins du grand studio Flagey en auditeurs rarement impassibles, laissant les sons ployer, caresser leurs corps, les évanouir et les désaxer en dessous ou dessus le piano. Ainsi chatouillé par l’œil, l’oreille s’immerge dans le bouquet de mélodies contrastées.
(Le Soir, Michèle Friche, 29/03/11)
Nouvelle prouesse d’Ingrid von Wantoch Rekowski. En ouvrant l’émotion – notamment par le rire – IvWR ouvrit aussi les oreilles et les cœurs, tandis que chouchoutés, bousculés, consolés par la force du théâtre, les musiciens rendaient la musique visible et belle, toutes créations confondues. Au cours de la soirée, un nouvel objet prit corps : la représentation de l’écoute.
(La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 28/03/11)