In The Woods One Evening
A new work based on the scores of Aperghis, Buckinx, Berberian, Deak, Dzuibak and Lachert
In The Woods One Evening
A new work based on the scores of Aperghis, Buckinx, Berberian, Deak, Dzuibak and Lachert
In The Woods One Evening features three actors giving a very particular interpretation of scores by contemporary composers with the help of leaves, gravel, vegetables and a piano. Put to very different uses than usual, the objects and words escape their logical confines and compose a strange and crazy universe. Coughing, stamping on dead branches, nibbling a stick of celery, spitting out a rhythm with olive stones and sighing are integrated into the score and create a strange and amusing universe. To be discovered on:
Credits
Conception and direction: Ingrid von Wantoch Rekowski
Lighting: Nicolas Ankoudinoff
Make-up: Joëlle Carpentier
Performers: Dominique Grosjean, Annette Sachs, Alexandre von Sivers
Production: Lucilia Caesar, Théâtre de la Balsamine (Brussels)
Supported by: Fédération Wallonie-Bruxelles (Direction du Théâtre)
Press
La jeune metteur en scène nous fait cadeau d’un spectacle absolument irrésistible. (…) C’est délicieusement déjanté et diablement bien maîtrisé.
(Le Soir, Christelle Prouvost 22/09/94)
In the woods one evening illustre avec pertinence et maîtrise l’intimité qui se crée entre les éléments fondamentaux de la représentation : l’auditif et le visuel, le sublime et le dérisoire, l’illusoire et le réel, le jeu et l’être des interprétés.
(Scènes Nr 4, Dominique Deloof, 06/20)
Dans ce galimatias génial et recherché mis en scène par IvWR, je retiens particulièrement ce que j’appellerais « concerto pour quatre mains au piano pour dégustation d’olives vertes », extrait érotico-sensuel hilarant.
(L’Edition locale, Jacques Duruisseau, 27/09/94)
In the woods one evening, et A-Ronne la petite merveille qui constituait la première incursion de la jeune femme dans la mise en scène.
(Le Soir, Jean-Marie Wynants, 05/11/96)
In the woods one evening et A-Ronne d’après une partition de Berio ont laissé en chacun une mémoire émerveillée.
(Le Soir, Michèle Friche, 13/05/98)